L’effondrement du cours du nickel met à mal les trois usines métallurgiques de Nouvelle-Calédonie et toute l’activité d’extraction en amont, qui voit se réduire les débouchés pour son minerai.
Or la filière nickel est critique pour le Caillou : elle représente un quart des emplois du secteur privé et 90% des exportations. Après des années de “boucan” (mauvais œil en Calédonie) et d’erreurs stratégiques, les usines métallurgiques ont entamé une course à la réduction des coûts, chacun espérant voir tomber son concurrent avant lui.